« Elle était douce et délicate, bien éduquée en somme. Elle comprit vite ce que mon désir attendait d’elle quand elle engloutit entièrement mon bâton de dressage jusque dans sa gorge. L’alchimie de nos phéromones rassemblait près de 3 millions d’années d’évolution. (…).

Mon doigt fouillait son cul trempé par l’instinct de baise primaire. J’étais surpris par son anus, si dilaté, que mon bras tout entier sondait son être. J’y restais quelques secondes pour provoquer les soubresauts qu’elle avait eut la première fois que je l’enculais. Elle cria si fort que je me retirai, laissant béant son trou suintant de merde auquel il ne manquait que mon foutre, que j’allai lui cracher dedans en gueulant à mon tour. Quelle thérapie… primale. Tous deux allongés sur le sol, goûtant aux joies subtiles de l’homéostasie, ses mains maternaient mes boules. J’étais aux anges quand sa bouche difforme vint de nouveau se délecter du jus de ma queue parfumée à la soupe primitive de ses excréments et de nos sécrétions diverses. Ses yeux, d’une naïveté consentante, ajoutaient de la douceur à la putridité de l’odeur de nos jutes mêlées qui rodait en suspens. Elle m’attendrit, alors je la laissai errer encore cinq minutes dans la pièce, avant de me décider à renfermer ma guenon dans sa cage. »

[ tiré d’ Amours Primates de Radoul VISCHÄNAVARE dans la collection « Dissidences » parue aux Editions SILOË ]

Ecrivain Mayennais d’origine Indienne, né à Goa le 6 novembre 1912. Il fut interné à l’H.P. de la ville de Mayenne par décision de justice en 1995, officiellement pour pratique illégale de la zoophilie. Mais, en fait, il aurait eu en sa possession des dossiers mettant en cause des maires Mayennais franc-maçon dans des affaires de pratiques sexuelles sur des animaux de laboratoires abandonnés par la SPA de Villefranche-sur-Saône (69) en 1986. Aucun juge ne reçut la preuve de l’existence de ces dossiers et l’on classa l’affaire.

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